jeudi 29 juin 2006

IL semblait bien...

Je ne sais pas trop comment commencer ce post...

Il est présentement 1h28 du matin. Il y a à peine une demie-heure, j'étais encore endormie aux côtés de Maël dans son lit. Je me suis réveillée et je suis tout de suite allée rejoindre mon autre amour, endormi, lui, sur le divan. Je me suis blottie un peu, et sans trop savoir pourquoi, quelque chose me poussait à me rappeler le rêve que je venais tout juste de faire en haut... Dans ma tête, des souvenirs du rêve me revenaient, jusqu'à ce que je me rappelle la présence de... Pat ! Je suis convaincue qu'il est apparut, peu de temps avant que je me réveille. Il était là, debout, pas loin de moi, les cheveux plus longs qu'il les avait l'année dernière, plus pâles aussi je crois, et il semblait bien. Tout de suite en me le rappelant, je me suis mise à pleurer, silencieusement. Je ressentais un certain soulagement : il semblait bien. C'est vraiment cette vive impression qui m'est venue.

En début de soirée, une amie était chez moi et me demandait si Pat était venu nous voir dernièrement. Ma réponse a été " pour ma mère, oui, hier, elle a rêvé à lui, mais pas moi, non, ça fait longtemps...". Ça faisait longtemps aussi que ma mère n'avait pas rêvé à lui. Mon amie m'a beaucoup questionné pour savoir comment il semblait être dans le rêve de ma mère : bien ou mal ? Je ne savais pas quoi lui répondre, ma mère ne m'ayant pas raconté les détails de son rêve. C'est spécial quand même, mais je crois bien avoir eu cette nuit une certaine réponse.

Bonne nuit à tous ceux que j'aime.
xxx

mercredi 28 juin 2006

Dualité : chapitre du livre de la vie

Le compte à rebours est commencé... Les souvenirs, mauvais et bons, refont surface. Chaque heure, au cours de ces prochains jours, se revivra, à nouveau, comme elle a déjà été vécue... Je voudrais que le temps arrête. Plus jamais, après ce prochain premier juillet, je ne pourrai faire référence à l'année précédente pour me souvenir de Pat. Les souvenirs seront désormais plus loin dans le temps, tout comme l'existence de mon frère. C'est tellement difficile de laisser partir, s'envoler, l'âme d'une personne autant aimée. Je voyais l'étape d' "un an" comme la tournure de la dernière page d'un chapitre d'un livre qu'on nous oblige de lire. Chapitre que je ne veux tout de même pas terminer puisqu'il me lie intensément au début de toute l'histoire... Ici, il se vit une imposante dualité entre chaque temps : passé, présent, et futur...

mercredi 7 juin 2006

Pour toi

Toi qui es entré dans ma vie, tu sauras te reconnaître, j'aimerais te dire tout simplement,
merci d'être là ;)
xxx