samedi 21 août 2010

Un peu de lecture

Un roman...

Ça faisait un petit bout de temps que j'avais envie de lire un bon roman. Dernièrement, j'avais commencé à lire un de ceux écrits par Bernard Werber : "Le papillon des étoiles". Je ne me suis pas encore rendue très loin. Je ne sais pas trop... Il manque quelque chose. C'est sûr que je vais le terminer, un jour. Avant celui-là, j'avais lu "Le vide" de Patrick Sénéchal. Ouf... Particulier, mais à lire. À déconseiller aux coeurs sensibles !

Mes nouvelles acquisitions littéraires sont : "Chagrin d'école" de Daniel Pennac et "La Valse lente des tortues" de Katherine Pancol. Hier, j'ai commencé le premier. Il s'agit d'un livre sur l'école, mais surtout, un livre sur le cancre, comme le dit l'auteur. Un livre sur la douleur de ne pas comprendre et des conséquences entraînées sur les parents, par exemple. Ou sur les enseignants. Bref, l'histoire de ce livre m'intéresse beaucoup et j'ai une fine impression que je le terminerai avant celui de Werber !

vendredi 13 août 2010

Liste de trucs dont j'aimerais parler...

- La possessivité, le contrôle, la dépendance, la confiance, l'indépendance...

- La musique que je découvre...

- Les livres que je lis...

- Ce qui me rend heureuse...

- Les vacances... nos vacances, le bonheur d'être ensemble, le plaisir, la simplicité...

- L'avenir...

- Ce que j'appends...

- Mon quotidien...

Pas mal de choses quoi ! Bon, alors j'ai du pain sur la planche...

jeudi 12 août 2010

Histoire d'une libellule

Il y a quelques années, en faisant quelques recherches sur internet, j'étais tombée sur un texte très intéressant concernant la mort et les libellules. Je vous le retransmets à nouveau.

Histoire d'une libellule

Au fond d'un vieux marécage vivaient quelques larves qui ne pouvaient comprendre pourquoi nul du groupe de revenait après avoir rampé le long des tiges de lys jusqu'à la surface de l'eau. Elles se promirent l'une à l'autre que la prochaine qui serait appelée à monter reviendrait dire aux autres ce qui lui était arrivé. Bientôt, l'une se sentit poussée de façon irrésistible à gagner la surface; elle se reposa au sommet d'une feuille de lys et subit une magnifique transformation qui fit d'elle une libellule avec de forts jolies ailes. Elle essaya en vain de tenir sa promesse. Volant d'un bout à l'autre du marais, elle voyait bien ses amies en bas. Alors, elle comprit que même si elles avaient pu la voir, elles n'auraient pas reconnu comme une des leurs une créature si radieuse.

Le fait que nous ne pouvons voir nos amis et communiquer avec eux après la transformation que nous appelons la mort n'est pas une preuve qu'ils ont cessé d'exister.

Texte écrit par Walter Dudley Cavert