vendredi 10 février 2006

Chercher encore

Depuis que tu es parti, le vide est immense.
Je lève les yeux vers le ciel, mais je ne sais pas où regarder.
Je te cherche encore, sans savoir où te trouver.
Tu es parti tellement vite alors que ça n'aurait jamais du arriver.
C'est si injuste.
Pourquoi ?
Mon frère, mon ami, tu me manques.
J'aimerais tant pouvoir te ramener, te revoir, te reparler.
La vie va être longue sans toi.
Ce que je souhaite c'est qu'on se retrouvera... vraiment.
Je t'aime.

4 commentaires:

Anonyme a dit...

Chère Mélanie,

Comme j'aimerais prendre sur moi toute ta peine... Malheureusement, je ne peux pas. Tout ce que je peux faire, c'est te dire que je t'aime et que je te comprends. Ce que je peux faire aussi c'est te partager ma foi chrétienne qui me console car je crois en Jésus qui a dit qu'il partait nous préparer une place et que là oû il est, nous aussi nous y serons. Donc, je crois, sans en avoir de preuve, qu'un jour je reverrai Patrick. En attendant, je vais essayer de vivre ma vie en essayant d'aimer le plus que je peux ceux qui restent autour de moi en n'oubliant jamais Patrick qui reste tout près dans mon coeur.
Ta mêre qui t'aime XXX

Anonyme a dit...

Salut Mélan
j'aimerai tellement trouver ces mots magiques ou ces gestes magiques qui pourront changer ton état d'âme ou juste te consoler te soulager, prendre un petit peu de ton dos, mais comme je connais très bien ce sentiment je sais que je ne peux rien faire à part de dire que mes pensées sont avec toi. Tu te rappeles ce poème que j'avais trouvé sur le net il y très longtemps, je te l'envoie :
J'ai besoin de ton pardon
Je sais que tu souffres de mon départ
Que tu cherches des réponses à tes pourquoi
Que tu penses qu'il est déjà trop tard
Que tu es victime de mon choix.
Je suis parti trop vite, sans un mot
Mais aujourd'hui, je veux me racheter
En t'expliquant que de là-haut
Je continue à t'aimer.
Pris au piège, au fond d'un trou noir
Plus de lumière, plus de sortie
Seul avec moi-même, meurtri de désespoir
J'ai dit adieu à la vie.
Un choix difficile à comprendre
Toi qui sais comment pleurer à l'extérieur
Moi dont la souffrance à fait brûler des cendres
Sur le seuil de mon cœur.
Laisse-moi éclairer ton chemin
Accepte que c'était mon choix de partir
D'arrêter de souffrir, d'abandonner. "
L.B., La Baie

Anonyme a dit...

Salut ma cousine, ma matante et ma "belle-cousine".
je veux juste vous dire que je vous aime fort, je tiens à vous et je suis avec vous. je comprends votre peine et je suis là pour vous. Hind ton poème est vraiment beau. merci.
je vous aime fort fort, vous êtes ma famille et on est une belle famille unie, il vous le dirait.
à bientôt.
Nath xxx

Anonyme a dit...

Allo Mélanie,

Je sais que je ne peux pas grand chose pour vous, sinon que de rester présent. Il y a longtemp que je veux te donner ce texte d'une chanson de Marie-Denise Pelletier. Elle est absolument sublime. Je pense qu'à ce moment-ci de l'année, elle prendra un sens. C'est la chanson "La lettre" tirée de l'album "Entre la tête et le coeur" paru en 1993.J'ai le disque à la maison. J'espère apporter un peu de baume.

Serge

LA LETTRE
(N. Racicot/B. Sarrasin, M.D. Pelletier)
c Editions du Grimoire / Editions MDP

Ce matin, j'ai entendu des anges chanter
C'est c'qui m'a fait penser à toi
Je sais, c'est inusité
Une lettre post-mortem
Dans le courrier de la pensée
Pour te dire que je t'aime

Bien sûr Marie que ce fut difficile
De me détacher de la vie
Même si j'étais devenu
Une ombre blême dans un lit
Ne sois pas triste mon amie
Quand tu recevras ceci

(Refrain)
J'ai de bonnes nouvelles pour toi, Marie
C'est de ce côté-ci de la vie
Que l'on guérit
J'ai de bonnes nouvelles pour toi, Marie
C'est de ce côté-ci de la vie
Que l'on guérit

A la fin, je n'avais plus la force d'écrire
Tout juste le courage de souffrir
C'est tard, mais j'te l'envoie quand même
Mon poème, mon requiem
Dans le courrier d'l'éternité
Pour te dire que je t'aime

(Refrain)
J'ai de bonnes nouvelles pour toi, Marie
C'est de ce côté-ci de la vie
Que l'on guérit
J'ai de bonnes nouvelles pour toi, Marie
C'est de ce côté-ci de la vie
Que l'on guérit